10 janvier 2015

Desserrer nos liens

Ce qui se dit et s'échange n'a pas de valeur garantie, mais permet de se retrouver en phase par rapport à un avenir meilleur ou pire.

Ce qui se faisait, ce qui s'échangeait entre les murs de ta (votre) chambre lors de nos rencontres interdites avait la valeur de nos sentiments tus, pourtant débordants de nos corps dépendants.

Nous n'avions que peu de certitudes, mais celles qui nous tenaient détenaient notre raison.

J'ai mis de la distance entre Nous, j'ai "choisi" de ne pas revenir pour que le souvenir de Ta fragilité, elle SEULE dorénavant s'en accommode, pour que tes Je t'aime ne trouvent plus d'écho entre ces murs que je trouvais si bleus mais résonnent désormais comme la promesse que tu m'as faite cet été de ne jamais m'oublier.



27 août 2013

Concurrence

Celles auxquelles il peut rêver lorsqu'il est avec Toi, ne ce seront jamais abaissées à rien d'autre que de satisfaire des désirs par Toi refusés.

Au final avec qui s'est - il résolu à partager son quotidien ?

Moi.

Suis - je dupe ! Il ne manquerait plus que je le sois.

Ainsi soit le vilain qui désire plus que tout prendre possession de ce que tu gardes inaccessible.
Entre cœur, sexe et raison, il a choisi de rester avec quelques insatisfactions !

Hum : la prochaine fois qu'il me prend, la jouissance sera mortelle. 



Cet article n'a plus de raison d'être puisqu'aujourd'hui d'autres il a choisies.

Blessée d'avoir cru à sa fidélité, lentement je me relève et concède qu'il en est mieux ainsi.

J'aurais pu effacer l'article : mais j'ai horreur de perdre mes écrits, chaque fois que cela pour une raison ou une autre s'est produit, j'y ai laissé une part de mon âme et ne m'en remets pas.



19 octobre 2010

Brumes


J'épuise ma plume en amertume sur fond de brume et de bitume défilant dans les grisailles de l'oubli, la lassitude des jours humides  et  surtout la certitude de l'avoir réellement  perdu. 

20 juin 2010

Mort_sur


Cette nuit encore, la morsure de tes sentiments gravés dans ma chair, empoisonnera la sienne et y gravera la mort sûre de tes sentiments pour elle.

1 juin 2010

J'existe.

J'existe à temps plein, mes sentiments Passionnés ne se rangent pas dans le placard de l'oubli, ouvert au gré de tes envies aléatoires et contradictoires.
Oui le doute est toujours aussi cruel.

Nous

Soif de TOI, Faim de NOUS, je laisserai Ta Bouche se désaltérer à la Source de l'envie et des délices fruités, aux Origines du Plaisir provoqué et exhalé.

Si Tu avais su qu'au dehors son coeur battait.

De lignes en lignes, il n'y a pas de déception ou de bonheur perdu au pire retrouvé ; mais le besoin et l'urgence de sortir de ma bulle pour respirer avec TOI, même trop rarement au vent d'un paysage en arrière plan.

Etre.

Je ne deviendrai pas n'importe quoi pour plaire à n'importe qui. Le but ultime enfoui au plus profond de mes chairs ne me sera jamais dicté par qui que ce soit au prix fort. Ma liberté d'aimer, de perdre, de souffrir, de renoncer, de pleurer n'est pas à vendre.

13 Bis


Si Ici était ton seul refuge, si pour penser tes blessures il te faut les cacher et ne laisser que quelques riens délicats ici et là, alors j'ai le droit de te dédier la totalité de ce que j'écris au gré de la folie et de la douleur qui sévissent sur mes jours.
Adepte de Ta Douceur, de Tes Tensions asymétriques, de Ta Fougue, de Ta Jouissance, de Tes Disponibilités, Je promets d'oublier de TE demander de ne Pas M'oublier.

Histoire sans Fin.


Elle n'avait eu qu'une certitude au moment où Son Regard avait traversé ses propres yeux et était descendu le long de sa gorge pour atteindre les tréfonds de son Âme.

Ce Regard vit désormais à fleur de ses sens et brille tel un pacte scellé entre EUX, tel un Serment inviolable.

L'art d'être Célibataire

Pourquoi le reste de la société bien accompagnée nous prend - elle en pitié au mieux comme des êtres à part ?

Ce sont ceux qui admirent de loin le célibat qui devraient faire le ménage devant leur porte avant de vouloir nous caser à tout prix. 
J'ai Choisi ce statut et cette façon de vivre pour longtemps encore je pense. Oui tu viens de comprendre : ce n'est pas une tare.


Choisir c'est Renoncer : j'ai choisi d'élever seule mes Kids au détriment d'une famille recomposée : source de plus de complications & de fatigue que de joies. 
Eduquer me prend une énergie dingue, mon travail au sein de l'Education Nationale tout autant. Mauvaises langues sur mes 4 mois de vacances par an, dégagez, vous n'aurez Jamais ma place.

J'ai choisi la solitude des petits matins gris ou ensoleillés au regard déçu d'un homme qui ne supporterait pas mes imperfections lisibles et tangibles.

J'ai choisi le vide des soirées et journées de congé lorsque Mes Kids vivent leur vie loin de MOI, à l'ennui d'un compagnon qui n'aurait d'yeux que pour des écrans plats ou de fumée.

J'ai choisi l'égoïsme au partage dans les décisions qui ne manquent de pointer leur nez et à la difficile négociation pour le choix de la couleur de la voiture familiale. (Adrien sourirait certainement à l'évocation de cet épisode d'une vie passée & refusée.)

Aimer n'entre pas dans mon esprit en contradiction avec le célibat & la Passion dans ce que l'on partage épisodiquement avec celui qu'on a choisi d'aimer.

15 avril 2010

Racolage Mineur.

Accrocher les regards et entraîner les esprits à voir plus loin que le bout d'envies supposées primaires : un art qui ne s'improvise pas et par lequel peu excelle pour vous ravir les sens. 

Lirez vous plus volontiers mon article si je lui associe une merveille ou si je le laisse croup-ir dans la grisaille ?
User de ce que l'on possède effectivement, exaspère et désespère celles qui ne possèdent que tout juste le Q.I requis pour ne figurer que là où elles figurent, parce que ne sachant que s'offusquer platement pour dénoncer en se bornant à reprendre à mauvais compte d'auteur les tendances actuelles supposées incontournables.

Ceci dénote d'un manque de culture ou d'une culture a minima, essentiellement axée sur des écrans mineurs n'élargissant que le nombre d'adeptes inaptes à la critique mais capturés et englués dans la toile des cerveaux "dominateurs et pervers", ne surfant que sur le flot d'esprits saturés d'images sucrées et post traumatiques, ne ravissant que des cohortes de pâles commentateurs incapables d'aligner deux lignes sensées et constructives relançant au plus le débat. 

Complaisance à tous les étages et aveuglement hypnotique que les compteurs proches de l'implosion dénoncent et dans lesquels se mirent et dérapent les femelles en mal de reconnaissance et d'existence authentique.

Haro sur tout copié//collé transformé en leurre pour seconde de gloire virtuelle.

C.Q.F.D : j'adore cette expression : N.B (encore plus) : D pour démontrer // D pour détruire.

13 avril 2010

Le Monde Sans Fou.

Mine de Rien ça ne rime à Rien de vouloir figurer sur de pâles copies en Traître_Es agrippée à la paroi de l'invisible, d'y deviser puis d'en dévisser en chute libre dans le gouffre de mon indifférence aux appels en rappel pour accrocs à l'hérésie des beautés nu_mérisées.

Grise mine triste et palme cernée au petit matin, pour ces  échos pathétiques d'hermétisme, ces flots effrénés et débordements triomphants dans  l'art répandu et congratulé par le "Je(u)" dramatique des bouffons a_vides dans l'arène d'une reine à l'agonie.

11 avril 2010

Soumission.


« Mon Ange, conduis – Moi de Tes Mains célestes en ces hauts lieux de félicité, là où règnent les courbes divines, où demeurent les créatures de chairs soyeuses et lumineuses, où domine l'invitation aux plaisirs intenses aux jouissances ultimes, où tu caresseras de tous tes sens mes rondeurs offertes et soumises, où tu pilleras mes trésors enfouis dans la chaleur de la luxure et du parjure et où tu me feras accéder à la permanence d'un extase en retour.

- Ma Puce, Je t'offre une romance incandescente d'indécences telle que tes sens bouleversés par sa magnificence ne souffriront plus la médiocrité commune du Passé. 
Je te ferai succomber aux chants de la jouissance infaillible. 
Je te ferai crier sur une ample mélodie de voulptueuses douleurs et d'exquises caresses.
Je t'invite à parcourir des chemins de traverses bordés par les délices fruités qui s'échapperont de ton calice. 
Laisse toi guider par le charme désinvolte de mon corps attaché au tien et laisse toi parcourir puis envahir par les frissons de mon Âme cruelle et instinctive. 
Accepte de te perdre dans cette perspective irréelle et sensuelle au bras de ma Puissance d'aimer et d'enflammer ton innocence. 
Je distillerai en toi le poison de la Tentation de devenir sous le sceau du Serment Mienne et Chienne aliénée».

Tel un diamant dans son écrin de velours ébène, Elle devint Sienne Corps et Âme. Il fût l' Ange qui la déshabilla de sa pudeur, de ses silences.

Pose Cigarette

J'ai aimé la nonchalante sensation de mon corps frêle tour à tour livré ou abandonné à la puissance de ta virilité enserrée en moi.
J'ai aimé et aimerai encore te retrouver par ces nuits de liberté octroyée mais ignorée.
J'aimerai toujours que tu reviennes t'abandonner à la luxure de mes caresses, à l'envie de ma tendresse, à l'efficacité incertaine de mes mains, de mes soins apaisant tes tensions, veillant sur ton abandon.
Je n'aimerai jamais ce train et ces fins de nuit qui t'emportent trop assurément
ment pour un certain ailleurs, pour un ailleurs et "au revoir" qui ne m'appartiendront jamais.
Take care about you but nothing else or no one else My Dear.

8 avril 2010

Je Hais cette Fille.

J'ai besoin de sentir Ta fragilité et Tes douleurs pour penser que Mes mains & Mes caresses sont ce qui Te manque le plus, pour savoir que Notre Dualité a ses Raisons que Mon Cœur n'ignore pas. Je veux Ton corps aussi fort, aussi puissamment que Tu as mal.
Je hais cette fille qui te néglige et opprime Tes envies. Je hais cette fille qui ne sait T'aimer et Te protéger. Je hais cette fille qui ne vibre pas aux abords d'un terrain où Tu te bats et Te débats pour gagner. Je hais cette fille avec qui Tu gâches Ta Vie et Notre Amour. Je la hais et considère que Toi aussi pour m'accepter ce soir comme Ton Privilège, Ton Secret, Ton Oxygène. Son abject attachement se délite et implose à chacune de Tes Trahisons. Ce qu'elle soupçonnera et n'entr'apercevra pas, l'infime que Je sème ou que Tu exposes n'est pas à la portée de ses recherches stériles mais si destructrices. Je marche sur le fil, J'oscille et maintiens l'équilibre : ne Te vouloir qu'à Moi serait pure folie autant que douter que Tu ne m'aimes pas autant que Je T'aime.

Fusion.



La fusion de NOS chairs éclairera mes lecteurs sensibles à l'érotisme poétique et délicat de mes textes nés de Notre amour charnel et défendu. 
Au cœur d'un tourbillon d'ivresse et de volupté idyllique, au delà du mystère effrayant d'une alchimie irréelle et au centre d'une sensation de douceur parfaite au creux de Nos ÊTRES.

Je vous confie cette histoire qui n'appartient ni au passé ni au présent, mais à l'atemporalité de nos heures passées à exacerber nos corps à l'unisson d'une passion dévorante qui Nous lie à l'infini.

Partager.




Vos écrits pour ne rien dire, tout comme vos silences pour en dire long sur les murs et les 'j'aime' me consternent. Occuper l'espace est votre seule capacité : c'est édifiant de banalité.

"Big Google" is watching YOU sur écrans Linux ou applications Microsoft, et j'ose ajouter qu'il n'existe qu'à travers des regards "indiscrets" auxquels naïvement vous offrez un aperçu de vos vies empreintes d'occupations web, du genre cultiver et ensemencer un jardin virtuel aux alentours des 9 heures d'un matin de janvier dans l'Est de la France alors que votre conjoint se connecte sur Skyrock et Netlog en toute illégitimité.



Paradoxe de la futilité qui assiège vos esprits saturés d'incommunication et de vide relationnel : ce qui aurait pu être de l'espace libre pour des réflexions dignes de ce nom se transforme en indifférence conjointe. J'utilise la toile pour diffuser Mes écrits : je me sens sereine à cet égard et occupation non virtuels du moment. La légitimité que vous me conférez par vos commentaires et appréciations, me rassure.


Le moteur de cette activité n'est pas la frustration de n'avoir rien construit avec Autrui : mais la satisfaction d'avoir donné la VIE et de conduire Mes Trésors vers l'autonomie et la responsabilité de leurs actes.

Ethique et Toc.


Lectrice occasionnelle et critique acerbe des chroniques terriennes hermétiques et pathétiques offrant une vision panoramique d'un scribouillage pseudo littéraire hypocontemporain à l'agonie.
Retour aux classiques dans la foulée et salutations irrespectueuses aux plumes notablement minables d'Estimation à postuler au rang émérite (May Be) qu'elles ne rejoindront jamais.

L'alignement de leurs maux ne reflétant que le chaos dans lequel surnagent péniblement leurs pensées brutalement dévoilées à l'aune d'une poésie insubtile du style que je n'ose même pas retranscrire. J'ai pensé un instant soumettre (sous - mettre) ici ces lignes dévastées ou pire vous y précipiter via un lien : erreur fatale 404 ou 500 : Vous méritez mieux. Je déplore tout simplement qu'on ose se présenter (sous couvert d'alignements incertains et tellement aléatoires des mots) dans les rubriques Poésie du WEB. La Poésie à fleur de Peau sans respect aucun de l'Éthique (ou des "tics" poétiques) : trop facile, sauf au regard d'incultes béats d'admiration par intérêt plus pour la peau de la poétesse que de son essence.

Le manque de TOI.

Ce n'est pas le manque de toi qui me décourage puis me désespère pour enfin me laisser dans le doute ; plutôt le manque d'expression.

J'éviterai dorénavant de m'adresser à TOI directement dans l'attente de vaines réponses : certains feedback montrent que tu lis régulièrement : j'ose FIDELEMENT, mes lignes ici et ailleurs.

Je m'expose sans fausse pudeur et sans fard, sorte de garantie pour toi : pulsion ou passage obligé. Trace de NOUS et de ce que je pensais être un incontournable à notre illégitime légitimité.

L'illusion dont tu te berces en pensant que le questionnement te tuerait, aura sans conteste l'effet inverse sur ta vie.

Je t'aime Clément lorsque tu n'as pas de public, lorsque tes bras sont mon havre, lorsque tu es en MOI.



Fuis Clément, fuis - la, elle te détruit.

Ses Chaînes.


Ce qui se passa loin de Moi en cette période de fêtes reliant la fin au commencement, je le devine par ce collier gravé "A mon coeur" que tu portais cette nuit.

"Ma copine...", m'as - tu soufflé et raconté.
C'est à la fois touchant et désespérant de banalité et de facilité de sa part.
Oui Clément je peux finalement comprendre la signification de ce qu'a pu revêtir pour Toi cette nouvelle servitude transcrite pour Moi " Je dois marcher profil bas."
Abject au demeurant.
Ta "tendresse" lui est alors revenue et aimer doublement te fût Impossible.
Qu'inventera - t'elle comme tendre poison pour la Saint Valentin ?

Génèse



En ce matin frileux, l'aurore encore lointaine et la destination qu'avec elle tu as sans doute prise depuis de nombreuses heures, assombrissent mes pensées.
Reprendre cette route incertaine pour un travail fastidieux et routinier, suivre ce mini bus sale et gris, ravive une fatigue et une lassitude d'un printemps passé.



Printemps au cours duquel tu occupais tout l'espace disponible de "sky". J'avais à ce moment immanquablement répondu à tes attentes, tes injonctions, ton empressement maladroit : totale et aveugle soumission de ma part, excellent contrôle de la tienne.
L'été fût difficile : en juillet je t'oublie de mes plages, avec pour seule compagnie Mes Amours à MOI.



D'août, je tairai notre première rencontre, j'ai retranscrit en lieu utile, parce que c'était inutile quand tu l'exigeais. J'ai besoin de recul, de paix et n'affectionne pas l'instantanéité.
Là tu t'es fâché de me sentir blessée. ce que tu ne donnes pas et surtout n'obtiens pas te hérisse le poil et te froisse.



Mon silence et mon désir de prendre de la distance seront systématiquement parasités par tes visites silencieuses voire licencieuses.



Alors un jour d'automne tu demandes grâce.
Elle t'était acquise sans faillir.



Depuis je n'attends que tes retours et sombre dans la mélancolie de tes absences. 


Ce jeu cruel dans lequel tu te complais m'exaspère : ne pas répondre sous prétextes divers et ne me réserver que le rien est alors d'un stupide qui te sied mal.
M'attirer sans en avoir l'air jusque chez "toi" est encore plus puéril. Me signifier à demi - mots son existence m'a mortifiée.
Ceci étant au regard de l'estime et l'amour qu'elle te porte, je ne te juge pas ni fustige (quoique) : c'est votre histoire, mais lors de nos rencontres tu arrives imprégné d'elle.



Je ne peux donc ignorer cette fille qui achète ta présence certes charmante à ses côtés.



A l'heure à laquelle je rédige ces lignes, je me sens bien : la vengeance n'est pas mon style , je pense que ton imprudence lui vaudra quelques inquiétudes : elle ne peut oublier où et comment vous vous êtes rencontrés.



Dans une relation saine, je suis légitime et sereine mais me conduire au bord de gouffres et autres précipices est tout ce que tu peux m'offrir. Permets dans ce cas que je décline ton INVITE aussi douce soit - elle, même si c'est effectivement avec Toi (et TOI seul) que je connais mes plus beaux instants de Femme.

Erotisme à Fleur de Mes Sentiments


Elle se sentit Ivre de l'Amour Irréel mais Invincible qu'Elle porterait à jamais jusqu'Aux confins de leur Dignité d'Amants, jusqu'aux extrêmes des regards concupiscents de convoitise Malsaine, jusqu'au dénigrement des Louanges simplistes.


Il se sentit Ivre mais inéluctablement & délicieusement aspiré par la beauté teintée de grâce de sa Reine de sensualité, par la Magie de leurs étreintes, par la force de leurs caresses, ainsi que par la délicate essence de leurs corps enchevêtrés.

Cette valse des sens au gré de leurs corps enlacés ravira tout admirateur de la poésie de mes lignes à fleur de peau et de sentiments. Sentiments exacerbés par ce que Je vis avec Lui au cœur d'un tourbillon idyllique et si fragile.

Ses invites à tenter violemment Ses sens, excitent l'Intense délicatesse de Son envie, déposent avec parcimonie ces gouttes de pourpre et de vermeil ainsi que ces rubis embellissant ses seins si lourds si charnels, encrent pour l'éternité les caresses de son sexe carmin, de ses mains expertes, de ses lèvres fiévreuses sur sa virginale intimité. 


Toute l'Innocence de sa Pureté alors à jamais égarée alors à jamais entachée de son Amour flamboyant et céleste.
Ces gouttes de sang de vie et de feux ardents légitiment et scellent le pacte de sa présence en son cœur ainsi que sa volonté de lui d'appartenir et renaître dans le prisme de ses désirs.

Entre Lui & Moi